Dejan Dalius. Ou quand les choses doivent se faire dans l'urgence

Dejan Dalius Scottus Natahiel de Nasaris

Âge : 17
Sexe: Mâle
Originaire de: Aizora
Groupe : Hellheim
Rang:noble
Titre de notoriété:le Comte désabusé
Arme: une dague ondulé (mais interdit de l'utiliser), épée en bois « pour jouer », Darrack : la zweihander de son père (inutilisable pour l'instant, exposé au salon)
Origine de l'avatar : Mark331 sur DA

Un honneur, une horreur et une honte à vivre

Dejan a, ne nous en cachons pas, un caractère de merde. On pourrait penser qu'il a tous les défauts. Arrogant, provocateur, hautain, irrespectueux. Dejan ne fait pourtant que passer une crise d'ado pas tout à fait maîtrise pour sa part, son statut lui demande pourtant de se gérer et de paraître être « le garçon parfait ». Fait alors preuve souvent d'un calme, d'un stoïcisme même, assez impressionnant. C'est est une personne responsable mais beaucoup capricieux et immature pour en faire bon usage. Son statut dans la haute communauté et cette crise qu'il traverse ne l'aide pas forcément à s'améliorer bien au contraire. C'est quelqu'un qui peut se montrer très attentif mais pourtant très impatient si les choses traînent en longueur ou ne l'intéresse pas. Il est donc pas forcément facile de pouvoir avoir une conversation construite avec lui s'il n'en a pas lancé le sujet, l'envie ou s'il l'ont ne capte pas son attention.


Pourtant Dejan a des qualités, des qualités bienvenue chez quelqu'un de la haute société. Cependant comme développé avant, ses défauts et surtout son manque de maturité l'empêche de réellement les manifester. Tout d'abord c'est un jeune homme qui peut faire preuve d'une grande galanterie quand sa langue vipère ne fourche pas. Il aurait tout pour séduire ses dames si ce dernier ne serait pas non plus un peu peut-être grivoise. Il aurait même tendance à user de ses charmes et de son parlé fleuri pour profiter de la chair plus tard. Un bon petit pervers qui en plus a le regard vif et la liane baladeuse quand il s'y met. Il est, assez surprenant pour un noble à Hellmein, un individu des plus généreux. S'il le pourrait, sans le regard d'autrui pouvant mal le juger et apporter une mauvaise image pouvant retomber sur toute sa famille, il pourrait commencer à distribuer une infime partie de sa très vaste richesse familiale aux pauvres dans le besoin. Mais il se montre capable d'aider qui en aurait besoin à l'abri des regards ou dans certains plus ardu demandant à agir vite. Autant une qualité qu'un défaut aussi, il est prêt à tout pour avoir ce qu'il veut ou faire ce qu'il voulait. Ce qui peut vite aller de la témérité admirable à l'obsession futile Il a aussi une bonne idée de la noblesse, la vraie noblesse. Bien loin de celle véhiculé par Hellheim. Une noblesse qui met l'honneur d'un homme en avant et où sa dignité doit être montré par des actes envers les autres de manière désintéressé que par de belles promesses. Une noblesse apprise par son père, pourtant qu'ancien chevalier d'un milieu moyen au temps de l'ancien royaume. Du coup. Il préférerait même vivre modestement mais heureux plutôt que dans sa richesse.


Dejan aurait toutes les cartes en mains pour être un compagnon de vie ou de voyage idéal. Cependant sa vie courante et ses codes le pousse souvent à agir à contre cœur. Alors qu'il voudrait agir en parfait altruiste, il n'est qu'un connard égoïste, là où il voudrait montrer son courage, il se force à rester en retrait par lâcheté. Au final ne serait-ce pas qu'un manque de confiance en soi qu'y l’empêche de tout envoyer chier et agir comme il le souhaite au lieu de suivre ce qu'il lui a été ordonné dans son éducation ?

Spoiler:

Our boy. Your body is ready

C'est un Vipelierre. Chose étonnante d'ailleurs car les gens pensent qu'il aurait déjà dût évoluer à son âge. Peut-être a t'il besoin de mûrir dans sa tête avant de mûrir dans son corps ? Il montre d'ailleurs une taille assez au dessus de la moyenne. Le promettant à devenir un majaspic des plus imposant. Il est pourtant assez filiforme. Une grande perche comme on dit. 0.94 m pour un petit 8 kilo 6. C'est déjà grand pour un Vipelierre.

Il est habile de ses lianes. S'en servir de bras en plus, de corde, les pendre pour se faire une balançoire, les balader sous les rodes des dames. C'est vraiment un bonheur pour lui d'avoir ce luxe que les types plante bénéficie. Il est en dehors de ça très habile, faisant des bonds vifs ou maniant des objets tels des épées dans le vent. Ces gestes assez guerriers, il les a hérité de son père qu'il lui a enseigné. Mais c'est des choses qu'il a tendance à oublier par négligence et par d'autres gestes qu'on lui force à apprendre.

Car oui, un noble ne part pas à la guerre, il ne fait que l'observer. C'est ainsi que malgré une pratique de l'escrime régulière, seul pratique un peu violente digne d'un riche. Les gestes qu'il a appris consiste plus à servir le thé en gardant la tête droite tout en tenant un plateau que d'apprendre à parer un coup d'estoc en faisant un pas de côté pour placé un coup latéral retourné en se baissant. Il a en effet appris tout ce qu'y est code et prestance. Apprendre à marcher droit, la révérence, les signes de respect, la posture à table. Tout ce qu'un noble a besoin pour briller au repas du conseil ou des hauts dirigeant en vérité. Il se doit de marcher droit pour montrer toute sa grandeur et sa prestance. Sa mère lui aura fait coudre un petit habit qu'elle lui exige de porter. Un haut de forme blanc, une veste blanche de haute couture et une canne. Il ne lui manquerait plus que le monocle et les bottes de cuir pour bien prouver que c'est un gosse de riche. Le tout en blanc, sa mère voulant montrer toute la pureté de son fils par son esthétisme. Si vous avez lu précédemment son caractère, on doit plutôt penser qu'il n'est pas pourri jusqu'à la moelle mais presque. Il déteste cette tenue et a horreur de la porter mais heureusement il ne doit la porter qu'en de grandes occasion. Il aime cependant se promener avec la canne qui devient une épée de secours pour lui.


Il fait souvent des choses quand il s'ennuie, qu'il attend ou simplement n'est pas d'accord. Il lâche un grand soupire. Il se mettrait même à bailler parfois pour bien faire comprendre qu'il se fait royalement chier. Il peut aussi taper du pied assez frénétiquement quand il doit attendre sans bouger.
On le reconnaîtra, en plus de sa grande taille, à ses yeux orangés approchant du jaune. Outre son accoutrement particulier, il possède un petit écusson qu'il a retrouvé récemment mais qu'il doit s'efforcer de cacher. Ce badge possède en effet le sceau de reine blanche. Qu'on pouvait par exemple retrouver chez les chevaliers. Celui ci était d'ailleurs légèrement différent des autres. Un autre sceau au verso montrant une tête de dragon derrière ce qui ressemblait à un motif de flamme. Il s'agit en réalité d'un des seuls souvenir de son père et le seul avec lequel il puisse se balader plus ou moins librement. Soit en le cachant sous son haut de forme, soit entre deux écailles de sa peau. Il y tient une affection. Seul lien le liant à son père « disparu »

Histoire

Tout commença il y a dix avant la rébellion des Renégats sur Primera. Une jeune Lianaja, jeune héritière et fille cadette de la famille Nasaris. Cette dernière vivait dans son parfait confort et surtout de la colossale richesse de sa famille. Une des plus riches maisons du royaume, lui valant sa place au conseil d'office. Autour de ses 17 ans et ce depuis 2 ans, elle devait se trouver un mari à l'occasion de ses 18 ans, c'était la condition ultime pour accéder à sa fortune. Mais personne ne lui avait réellement plu, convaincue ou attirée. Nombre de prétendants se bousculaient chez eux pour au final se faire renvoyer bouler. C'est alors que complètement perdu à cette idée d'être déshérité car, ne nous le cachons pas, la Lianaja, Hafsa, aimait sa richesse, elle aimait son argent qu'elle dépensait sans compter dans les boutiques de vêtement ou défiler chez les plus grands couturiers. C'est donc complètement plongé dans ses idées, entourées de ses trois grandes dames de compagnie, se firent surprendre par un brigand qu'y vola le sac des courses et arracha le collier de la jeune vipère à volé. Elle eu beau crier au vol, aucun chevalier ne semblait se révéler. C'est alors que le voleur se fit plaquer au sol et proprement mis aux arrêts. C'était un jeune Reptincel, environ de son âge, portant une épée et un casque de chevalier. Ce jeune homme, nommé Ridley Scottus, fut invitée par la jeune dame après qu'il lui ait rendu ses affaires. Il s'agissait que d'un écuyer un peu trop en vadrouille à ce moment là. Son chef devait déjà le chercher. Mais le jeune dragon à en devenir avait été invité par la jeune comtesse, cette dernière complètement sous son charme. Il se trouva que ce fut rapidement réciproque mais les parents s'y opposèrent longtemps, c'est au bout 6 mois de labeur, à l’extrême limite de la date fatidique que le guerrier juvénile, ayant défier ses 3 frère et son père, qu'elle et le désormais jeune dracaufeu purent se prouver leur amour. Amour qu'y laissa place à leur progéniture : Dejan


Le temps passa et leur vie se profila, Hasfa profitait de sa fortune dûment gagné, son tout jeune fils gardé entre elle et ses domestiques tandis que Ridley était devenu un prestigieux chevalier. Un des plus puissant parmi eux faisant parti d'un certain ordre privé.

Cependant c'est à la septième année de vie de leur enfant que les choses éclatèrent. Les renégats se levaient. Comble de la chose, la famille de la duchesse s'accordait à l'optique de la reine noire. Mais Ridley lui, forcément, était au service de la reine blanche. Si la séparation se fit dans la douleur un problème subsistait encore. L'un comme l'autre n'avait aucune confiance à laisser leur fils chez l'un ou l'autre, convaincu que les deux tenteraient de le convertir à la cause qu'ils défendaient. C'est lors d'une réunion exceptionnel au château blanc que la solution fut trouvé : Toutes les 7 lunes, l'enfant serait alors conduit à la frontière Rénéprimérienne pour être transmit à son parent à l'aide d'une escorte qu'y devait rester neutre au conflit et ne pas prendre par à des affrontements irréfléchi. C'est sous cette forme primaire de garde partagé que Dejan grandit. Ahlala. Qu'il avait été difficile pour lui de comprendre la situation que ses parents lui avaient créés. Tout ceci de fait que les Ridley et Hasfa avaient chacun leur version du conflit qui souvent, allait en contradiction avec l'autre. Et lorsque ce dernier se faisait trop insistant ou curieux, les deux changeaient de sujets ou coupaient court au débat avec par exemple un « tu es trop jeune pour comprendre fils. Tu seras en mesure de mieux savoir quand tu seras plus grand »


Malgré la demande de neutralité, les deux parents trouvèrent moyen de l'influencer par son éducation. Dejan devint rapidement l'écuyer de son père, apprenant tout du combat et de la guerre tandis qu'en parallèle sa mère lui faisait une éducation digne de son haut rang. Un véritable lien se créa entre le jeune serpent et le guerrier dragon. De ce fait, malgré son attrait pour cette fausse noblesse que lui montrait sa mère, ses gènes guerrières semblèrent plus aller vers son père. Autant pour son envie de devenir un héros tout de vert vêtu que pour sa vision du conflit qu'il a pu créer en joignant les deux bouts.


Il ne pu cependant rien faire à temps ce pauvre garçon. Le conflit s’achevait déjà, la victoire revenant aux rebelles qu'y prirent le pouvoir. Sa mère avait gagné... Tout. Son fils allait rester avec elle, son argent n'aurait aucun besoin d'être partagé. Le père de Dejan, sans même que ce dernier ne le sache, pauvre de lui, fut envoyé avec l'accord de sa femme au camp alpha. Des bruits de couloirs voudraient que ce dernier soit maintenu en vie malgré les conditions du camp, certains appuyant sur un pot de vin avantageux pour cela, mais pour ma part, je n'y crois pas du tout.


L'éducation de Dejan n'en fut que plus intensifié. Ce dernier se fit priver de tout lien avec son père et ainsi il apprit en profondeur les arts de la table, de la danse, de la manière de se tenir, de marché. Toutes ces choses vinrent finalement presque lui effacer la mémoire de tout son passé avec son paternel. Au vue de richesse de la famille Nasaris, ils purent à nouveau vivre dans un large confort, voir même plus que dans le temps. Richesse qu'y les protégeait de tout même de la justice, Dejan pu apprendre le pouvoir de la corruption. Mais à quel prix ?


Ce n'est que très récemment qu'il sorti pour ainsi dire de sa coquille. Alors qu'il marchait distinctement dans la rue, envoyer balader sobrement des mendiants, un cri d'alerte, d'une autre riche femme se fit entendre, elle se faisait agresser par un voyou, voulant visiblement la contraindre à des actes corporels qu'y pour sûr la souillerait. Le jeune serpent les trouva et par un acte qu'y dépassa sa pensé maîtrisa son adversaire, au sol assommé. Déjà déstabilisé par ce qu'il venait de faire d'instinct eu droit à un autre choc de la femme en détresse. En temps normal, on pouvait s'attendre à des remerciements mais là... C'était plus un discours tel que « Pfff. Pour qui vous vous prenez ? Mais qu'est que c'est que ces manières de barbaries que vous nous faites là ? » qu'y se fit entendre. Il en resta bouche bée. Désorienté par ces derniers instants, une fois rentrée à la maison, grande fut sa surprise quand un hellhounds arriva à sa porte, l'accusant de d'agression sur un civil. Il fut alors emmené dans un petit commissariat de quartier. Sa mère arriva alors peu de temps après. Ce qu'y ne semblait pas le rassurer. Le regard de la majaspic se faisant lourd et sévère, comme une déception en son héritier. Elle alla, après avoir pesé son regard sur lui, parler au shérif. Il n'entendit pas clairement mais il vit la chose distinctement. Elle s'enroula autour du shérif en lui susurrant quelque chose, prenant quelque chose dans son sac à main. Il vit alors sa mère donner de l'argent au shérif qu'y le libéra sans poser outre résistance.


Les choses devinrent de plus en plus difficile pour ce pauvre garçon. Tout s'effondrait autour de lui. Ce qu'il croyait être juste était faux et la réalité se distordait. Tout ce qu'il avait vécu n'était qu'un mensonge ? Les avaient ils vraiment vécu ? Où avait il appris à arrêter un individu de la sorte ?


C'est bien des semaines après que le rideau tomba pour le jeune noble. Se reposant dans ses quartiers, l'esprit encore embrumé, une de ses servantes frappa et lui demanda de la suivre. Ils arrivèrent au salon, sa mère l'y attendant déjà en compagnie d'une douzaine de jeune femme. La vingtaine pour certain, 14 ans pour d'autres. Il ne compris rien. C'était un échantillon d'esclave que la couleuvre pris à la volé. Le temps de choisir une épouse approchait et cette fois, elle lui laissait le choix alors qu'il avait pas le choix. Le visage de ses femmes le traumatisa. Les plus jeunes étaient effrayée, le sourire était forcé chez les plus âgées. C'était trop pour lui. Poussant un grand non aux exigence de sa mère, il se détourna et couru hors de la maison sans se retourner. Il fini par arriver en bord de la frontière qu'y séparait la cité du reste du monde. Le ciel c'était assombri, la pluie battait son plein. Il voulait fuir, loin de tout cela. Les choses lui étaient insupportable, des souvenirs d'un lointain passé lui revenant et le terrifiant en pensant au contraste de ce que cela représentait avec son réel. Il ne voulait plus de cette vie. Mais il trébucha, affalé dans la boue. Il commença à sangloter, criant au ciel, les yeux en larme.

"Pourquoi ?! Pourquoi avoir fait ça ? Je vous hais ! Tous !"

Le désespoir et la douleur le dépassait complètement. Il n'arrivait plus à penser de manière cohérente, il était au fond du gouffre. C'est alors qu'il entendit une voix, puis une forme se dessina au dessus de lui.

"Mon garçon... Est-ce vraiment ce que tu souhaites ? Que comptes-tu faire ? Faire le lâche et fuir tes problèmes ou les affronter comme un guerrier l'aurait fait ? N'est-ce pas ce qu'aurait fait ton père ?"

C'est comme ressortant d'un songe qu'il se releva, l'averse s'était calmé, c'est alors couvert de boue qu'il se fit éclabousser par une charrette.

"EH ! Vous pourriez faire attention non ?!"

Le conducteur ne dit rien mais plus loin sa marchandise fut secoué et perdit de son contenu. Le jeune garçon alla inspecter. Il s'agissait d'un tableau de toute beauté. C'était un portrait de la reine blanche Solaris. Cette femme de toute beauté. Il s'en rappelait maintenant. Primera...

Il rentra alors dans chez lui, le tableau sous la liane. Il l'emmena à sa chambre. Alors qu'il se demandait où le ranger, il ne put que le cacher sous son lit en urgence, sa mère frappant à la porte. Alors qu'il s'attendait à se faire fortement réprimander, elle avança l'hypothèse qu'il était en crise d'adolescence. Ne voulant pas se chercher d'excuse, il le fit comprendre aussi. Ils passèrent alors d'accord à n'accord. Ce serait à lui de trouver sa bien aimée. Ce n'était de loin pas sa priorité. Mais il lui a simplement dit ce qu'elle voulait entendre.


Dejan avait un but désormais, renverser le régime hellheim et remettre la reine blanche sur le trône. Et au quel cas elle n'était plus de ce monde, réussir à forger un nouveau royaume qu'y brille comme dans son passé. Mais il ne savait pas du tout comment s'y prendre. Il pensait bien aux résistant qu'y se faisait de plus en plus connaître. Il les avait mal-aimé à l'époque, naïvement, se référant aux paroles de sa mère. Mais les trouver serait des plus difficile et il ne saurait même pas comment s'y prendre pour changer les choses. Il arriva au salon sans trop y penser et remarqua, comme venant d’apparaître dans la pièce pour lui, alors qu'elle avait toujours été là, une épée de taille imposante au mur et son fourreau. Il tenta de la prendre, comme attiré par elle. Cependant sa mère semblait proche et la punition serait amer s'il se faisait prendre. Il ne pu prendre qu'un ceinturon, servant à accrocher l'épée au corps. Une fois dans ses quartiers il pu mieux la regarder, il remarqua un écusson qu'il a pu retirer. Il pu la voir de plus près, des flammes semblait y être gravé et une tête de tranchodon semblait arborer le tout, tel un symbole. Il ne cessa de le regarder et enfin il compris.

"... Papa... C'est promis... Je sauverais Aizora en ton nom... "

Et donc...

*Toc toc toc*

"Kitsun ? Qu'est que tu fais. On n'attends plus que toi tu sais ? Les robes ne vont pas s'essayer toute seule tu sais"

*range son carnet dans le tiroir*

"Oui un instant j'arrive."

pose un dernier regard sur le carnet

"Ce ne sera plus long mon ami. Bonne chance."

Derrière l'écran

Pseudo :Dejan
Âge :21
Code de validation à trouver dans le règlement:Pitipêche.
Comment as-tu connu le forum ?Coucou les copinous. C'est Kaiser %)
Que penses-tu du forum ?Suis modo. Ça vous suffi ? Faudrait encore corriger les avatar, ça redimensionne encore à 150x200.

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