"La lame, le sang et l'enfer" (Fini)

Caractère

Je ne sais plus vraiment comment mon grand frère et ma petite sœur me décrivaient, mais je savais que les mots utilisés n'étaient pas très gentils, je sais que Yusuna me décrivait comme un pokémon râleur qui ne voulait que du luxe... Malgré son jeune âge ! Elle me trouvait énervant et mentalement plus jeune quelle, mais je ne l'avais pas pris comme une insulte venant d'elle. Mon frère lui de son côté disait que j'avais l'étoffe d'un grand chevalier courageux, mais je ne le croyais pas non plus à cette époque, je me trouvais faible incapable de blesser même l'ennemi ou la cible, je ne pouvais pas lever la patte sur un être vivant. Quand je ne me défendais et que je rentrais, j'étais assez souvent blessé et Yusaen me grondait disant que c'était tuer ou être tué ! J'étais innocent et insouciant avant, mais aujourd'hui, j'ai bien changé de ce que dit ma sœur : j'étais froid et distant, j'imposais une distance limite avec les étrangers et faisais couler le sang des ennemies sans problèmes. Je suis devenu ivre de vengeance envers les Helheims, qui m'on arracher la personne à là quel, je tenais le plus, je voulais avoir comme but de les tuer un par un. Je suis une personne chez qui la confiance peut régner, je garde toujours les secrets en sécurité et dis toujours la vérité, Yusuna répète sans cesse ", C'est une très grande qualité, les mensonges n'amènent rien d'autre que le malheur." Ma vie tout entière à consisté à fuir devant le danger. J'étais lâche et je le niais, c'est mon plus gros mensonge et problème.
 

Physique

Je suis un Pokémon court sur patte à cause de ma mal nutrition et je ne mange pas assez pour être lourd, je suis un poids plume et cela me rend très rapide. Mes yeux sont dorés, enfin un peu plus comme la couleur orangé qui était visible au crépuscule. J'ai une canine un peu trop longue qui est donc visible même si je ferme la gueule. Mon pelage est doux et soyeux, je dois avouer que parfois, il est ébouriffé et surtout que sa couleur vire au blanc de jour en jour et j'était tous blanc aussi quand j'étais un évoli. Mes oreilles (enfin pas vraiment les oreilles le truc devant qui pendouille) sont trop longues et touchent le sol et je n'ai pas la chance de pouvoir utilisé ma queue pour me défendre une blessure grave se logent tout le long et ma colonne vertébrale ne le supportait pas et un jour, j'en ai perdu l'usage et je voulais même la couper. Je suis un Givrali dont les oreilles et la queue touchent sans arrêt le sol sale. Je porte un manteau et une écharpe, je ne crains pas le froid tant que ça, mais au moins avec ça sur le dos, je suis assuré de ne pas avoir froid du tout ! Le manteau et l'écharpe son tous deux blanc avec quelque tâche bleue peu visible, c'est assorti ! Je ne suis pas difficile à retrouvé dans les grandes villes avec le marché bondé, j'aime les choses brillantes.
     

Histoire

Je ne connais pas mes parents, la personne qui s'est occupée de moi quand j'étais enfant n'était autre que mon grand frère. Nous étions trois Evoli dans une petite maison délabrée, vraiment en très mauvais états. Je ne m'en suis jamais plain, ma vie était juste parfaite, je vivais vraiment bien et je mangeais bien, mon grand frère faisait absolument tous pour nous protéger Yusuna et moi quitte à passer après nous. Il était généreux et attentionné jamais il n'avait crié sur nous, même quand avec ma petite sœur, nous faisions les petits chenapans. Je n'avais que huit ans et elle six, et les bêtises, nous les enchaînions sans le dire à Yusaen qui était assez lent à la détente ne le remarquait jamais.

Les huit premières années de ma vie étaient normal pour moi, rien d'horrible, c'était même joyeux et génial malgré notre pauvreté. Quelque mois plus tard mon grand frère avait réussi à évoluer en Phyllali, toujours heureux, avant même d'évoluer il était passionné par la nature et adorait l'observer , pas moi je n'ai jamais trouvé ça utile la nature n'a jamais attiré mon attention. Mais une fois, il nous avait fait une petite leçon, la poudreuse n'arrêtait pas de tomber et le sol était blanc, j'ai toujours adoré l'hiver et la neige le froid qui m’enlaçait. Il avait demandé le silence et retiré un peu de neige pour fait un cercle. D'un coup, une petite pousse était sortie du sol, j'avais même écarquillé les yeux de surprise, ce simple souvenir ne redonnait le sourire…

Je ne savais pas encore que mon destin allait empirer, je n'avais pas compris que les jours heureux étaient tout scellés.

Quand la neuvième année de ma petite vie avait débuté rien n'avait changer, j'étais devenu un peu plus mature et les bêtises d'enfant avait pris fin, ma petite sœur n'avait pas compris pourquoi je n'avais plus envie de sortir jouer avec elle.

À mes onze ans, mon grand frère attrapa une maladie étrange, il n'avait plus faim, ne dormait plus et parlait seul. Quand je suis venu le voir pour savoir si son état s'améliorait, nous avons un peu discuté, il m'avait dit une chose horrible voir même étrange :
''Ça n'aurait pas dû finir ainsi. ''
Mon jeune âge ne m'avait pas permis de comprendre cette simple phrase et aujourd'hui encore, je cherche. À ce moment-là, il avait arrêté de parler pendant un petit temps, j'avais même paniqué et hurler de peur le pensent mort.

Je n'avais pas encore compris que c'était le future. Il ne viendra plus nous protéger…

Deux mois plus tard, Yusaen n'était plus. Les gens qui vivaient dans le même village avaient déclaré que c'était la maladie qui avait donné se résulta affreux. Je ne les croyais pas, quand je l'ai vue mort au début, j'étais juste choquer. Je pensais tous comme eux, que la maladie en était responsable. Mais l'environnement dans lequel il se trouvait allonger était noir et la maison avait l'air dévaster tout avait été détruit, et mon frère ne pouvait pas avoir touts détruit c'était impossible. Il tenait bien trop à tous les objets qui étaient ici.
''Yusuna. On doit partir !'' Hurlai-je le plus faiblement possible pour être discret. Elle avait hoché la tête rapidement ce jour-là, et nous sommes partis comme des voleurs. Elle n'avait pas pleuré à ma plus grande surprise, je ne lui avais pas dit de le faire parce que moi-même, je n'avais pas osé verser une pauvre larme à ce moment-là. Je ne voulais pas avoir l'air faible face à ma sœur et je suppose quel non plus ne voulait pas.
''On va où ?'' Demanda la plus petite. Avec au fond de sa voix de petits tremblement.

''Je ne sais pas moi-même, enfin, je suppose que l'on va très loin.'' Je parlais encore doucement, je ne savais même pas de quoi je me cachais.

''Pourquoi tu fais ça ? On ne peut pas fuir ! Grand Frère nous à dit que l’extérieur du village était bien trop dangereux !'' Je ne pensais pas qu'elle s'arrêterait de marcher. Je ne l'avais pas imaginé, je ne m'étais même pas retourné pour voir si elle me suivait ce jour-là. Je n'avais pas pris ses sentiments en comptes… Juste les miens.

''Je suis le grand frère désormais !'' Mais elle n'était plus là pour l'entendre, elle était partie. Je lui avais fait peur sans vraiment le vouloir. Je n'avais pas cherché à la retrouver, je me suis échappé du village sans elle et je le regrettais. Sincèrement.

Bien sûr, je n'étais pas parti de cet enfer sans arme. J'avais pris celle que mon frère utilisait pour nous protéger, il ne voulait pas que je la touche et je ne savais pas quelle était empoisonnée.'' Mais elle n'était plus là pour l'entendre, elle était partie.

J'avais compris que le pays avait changé, qu'il m'avait changé.

À la base, je voulais que ma sœur vienne avec moi pour ne pas rester seul. J'avais comme plus grande phobie la solitude et j'avais peur de finir complètement dérégler. Mais je ne rebroussais pas le chemin, bizarrement mon écharpe avait une odeur que je ne n'arrivais pas à reconnaître, mais je n'avais pas fais attention à se détaille plus que minime. Elle était douce et réconfortante pour mon plus grand bien, mon ''manteau'', je vais appeler se truc comme ça parce que ça ressemble à autre chose, avait la même douceur.

En cette période de l'année, la neige tombait et j'étais heureux ! Mais pour ce jour si la neige ne reflétait rien d'autre que de la solitude. De toute façon si je n'arrivais pas à trouver un abri la neige aura raison de moi… Je me suis écroulé de fatigue sur le sol pas encore recouvert par la poudreuse, je ne pensais qu'à une chose à ce moment là.

Qui avait assassiné Yusaen ?

Mais j'avais abandonné un peu trop vite, je me suis bêtement endormi. J'étais condamné à mourir sous la neige ? Je ne voulais pas mourir, j'avais parcouru un chemin bien trop long pour ça. Le lendemain, je n'avais pas encore compris les changements que mon petit corps avait subis. Je ne sentais plus le froid, mais je me disais que c'était mes vêtements qui faisaient ça, je n'y avais dans pas vraiment prêté attention. Quelque jour plus tard, je tombe par le plus grand de tous les hasards un petit lac, gelée, et constate en hurlent de peur que j'avais évolué…

''Je n'ai pourtant touché aucune pierre !'' Avant que je me souvienne que j'étais devenu un Givrali, et donc aucune pierre existante pour le moment n'auraient pu déclencher mon évolution. J'étais bleu mais vraiment trop clair, même un peu trop pâle, une couleur qui se rapprochait du blanc. Je n'avais que onze ans...

''C'est la neige qui a fait ça ? C'est possible au moins ?'' Avais-je dit sarcastiquement. Je n'avais pas bien dormi, alors je devais être de mauvaise humeur…

Je n'aimais pas me battre, mais pour le coup, je désirais plus que tous tester mon nouveau corps ! Je cherchais désespérément un pokémon qui voudrait bien se battre contre moi, avant d'arrêté et de me rappeler que j'étais un peu coupé du monde ici…

Je me recouchai doucement dans la neige d'un blanc pur et commençai donc à réfléchir. Je ne pouvais pas rester ici à attendre quelqu'un, non, je ne pouvais pas.Je me recouchai doucement dans la neige d'un blanc pur et commençai donc à réfléchir.

Sept mois plus tard, j'avais gagné en discrétion et les autres pokémon avait beaucoup plus de mal à me remarquer. Sans trop faire exprès, j'avais aussi gagné une belle cicatrice sur la queue m'empêchent de l'utiliser, comment je l'ai eut ?Personne n'arrivait à me remarquer et si mon imitation caméléon rate, je fuis. J'avais volontairement déclenché un combat, contre un ours blanc bizarre qui disait s'appeler Hibarin et visiblement, il n'était pas très bavard.

Je vous l'ai dit, je suis un lâche.

Personne n'arrivait à me remarquer et si mon imitation caméléon rate, je fuis. Le plus étrange, c'était lors de la saison froide l'hiver, j'étais comme la neige et je passais inaperçu aux yeux des autres.

Les mois qui passent, les années qui défilèrent emportèrent mon côté lumineux et jovial, laissent place à un être froid aux pensées sombres.

Ma vie était devenu un enfer, je ne comprenais plus mon propre comportement, la solitude qui s'emparait de moi et la douleur qui comprimait comme si mon cœur était coincé dans un étau. J'avais vécu cinq années de solitude et je ne cherchais même plus le contacte avec d'autre pokémon je voulais revoir ma seule famille mais je m'en empêchais. Je m’autodétruisais non-stop de jour en jour.

Un jour, mes pattes avaient réussi à trouver un endroit non désolé. Pas abandonné, ou la vie avait l'air de suivre sont court. Mais quelque chose l'interpella, je ne savais pas où j'étais où je me trouvais… Je devais demander à une personne et rapidement. Je m'étais bêtement cogné contre quelqu'un et pour faire preuve de politesse, je me suis rapidement excusé et relever pour ne pas avoir à lui parler.

Mais, pour mon plus grand malheur de pokémon maintenant insociable, il m'avais retenu par les épaules et par la même occasion retourner. Quand mon cerveau se remit en marche et que ma bouche s'ouvrit pour lui demander de me lâcher aucun mot n'était sorti. Son visage était trop proche du mien et par la même occasion, je pû réussir à déterminer quel pokémon il était… Un Grahyèna dont les poils semblaient bien plus sombres, il avait des yeux bleus et un grand sourire… Comment dire que mon côté lâche à rapidement prit le dessus. Son sourire me fichait la trouille ! Mais quand il colla nos bouches ensemble, j'étais plus que surpris et j'ai rapidement reculé la tête… J’étais tous rouge, d'un rouge pivoine.

''Tes plutôt mignonne.'' Avait-il dit d'une voix rauque.

''Pourquoi tu as fait ça ?!'' Ma voix était d'un cran à ce moment-là, je voulais juste lui mettre une claque.

''Ah… Donc enfaîte ce n'est pas mignonne toi… C'est mignon !'' Je le haïssais déjà.

''Tu ne voudrais pas m'aider et rejoindre les espions. Genre, on rejoint en même temps moi aussi, je vais les rejoindre et les aidez ! Tu avais l'air discret et calme…'' Tu ne voudrais pas m'aider et rejoindre les espions. De quoi y parle celui-là ?

''Espionné quoi ? Et surtout rejoindre quoi ?''

Il ne devait pas avoir que je venais d'un lieu paumé du pays… Vu la tête qu'il tirait. Il reprit un grand sourire et m'expliqua assez rapidement.

''Bah… Euh… Rejoindre les Defenders. Et espionné les ennemies, les choses que font les espions en gros !~ Nan… Attend enfaîte, je vais le dire autrement, tu aimerais que la paix revienne ici ? '' Me demanda le Grahyènale visage pour le moins sérieux.
''Bien sûr que je veux ! Si les, je sais plus trop quoi gagne, la paix, elle reviendra ?!'' Je crois avoir compris, malgré mon visage troublé. Avec le grand sourire qu'il affichait, j'avais réussi à discerné autre chose. ''Tu recrutes…'' Avais-je dit faiblement.

''Oh ! Tu à deviné ?~ Tu veux bien me rejoindre du coup ?'' Il n'avait pas attendu de réponse et me poussait vers un petit groupe, je venais tous juste de remarquer qu'il portait une cape. Je répondis assez fort ''Je te répondrais oui, si tu me dévoiles ton nom.'' Quelques secondes plus tard, il me chuchota dans l'oreille. (oui bon il a dû la soulever un peu) ''Kuroda et toi ?''

Je ne lui avais pas répondu directement. Mais je ne gagnerais rien à lui dire… ''Je gagne quoi à te le dire ?''

''Ma confiance est une chose suffisante ?'' Me dit-il gentiment.

''Yukine.''

Derrière l'écran

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