Under the rain / PV Nyxès

HRP:

Enfin ! Enfin je pouvais retourner chez moi. Enfin j'allais retrouver ma forêt froide où personne n'a le courage de l'enfoncer, j'allais retrouver ma tanière douillette et prendre au moins deux bons jours de sommeil. Il faut avouer que les dernières semaine n'avait pas été de tout repos, entre mon vol de document qui m'avait pris une semaine et demie, histoire que tout sois parfait, la soirée avec Kaiser pour essayer de rembourser ma dette et les trois jours pour assembler assez d'argent et de provisions pour le voyage, je n'avais pas eu le temps de beaucoup dormir voyez vous.

ma sacoche pleine à craquer de baie j'avais fait mes au revoirs à Kaiser et j'avais filé comme une ombre dans le dédales des rues sombres de la cité. J'avais zoner quelque peu, m'étant fait arrêter plusieurs fois pour des contrats. Mais j'avais refusé, pas assez payez ou pas assez amusant. Alors, j'avais escaladé les remparts de nuit pour m'amuser et étais parti comme une flèche. Courant à toutes pattes j'avais dans l'optique de m'éloigner le plus possible de la cité, je savais que l'on m'avait vu et vu le joli cadeau que j'avais laissé dans le poste de garde je n'allais pas tarder à me retrouver poursuivis par un paquet de pokemon et pas forcement sympathique. Oui j'adorais mettre la zizanie quand je partais d'un endroit peupler, un peu ma marque de fabrique.

Une explosion retentit, ah, ils l'avaient trouvé ma petite bombe artisanale. Je me retournais un instant et admira la vue. Sa bombe était faite d'un petit système relié à la porte qui faisait des étincelles lorsqu'on l'ouvrait et la poudre de feu d'artifice que j'avais trouvé par hasard faisais des miracles quand on parlait autant d'explosion que d'art. Les Conseillers allaient être ravis. Mais après avoir fait ma petite blague, j'allais surement avoir des gardes à ma suite pendant quelque kilomètre, alors autant courir et prendre de l'avance. Si j'avais fait autant de dégâts que ce que j'espérais il valait mieux que je me face oublier quelque part pendant quelque semaine, dans ma forêt par exemple ou dans le marais oublier. Je devais m'y rendre pour aider le groupe de Kaiser et rembourser la dette que j'avais envers lui alors autant voir un peu du pays et pendre ses marques dans le marais, se n'est pas comme si j'y allais souvent. Mais, au pire, je pourrais toujours aller voir une vielle amie qui réside au lac des trois, cela doit au moins faire cinq ans que l'on en c'est plus vu alors pourquoi ne pas en profiter pour aller faire une petite visite de courtoisie.

Mais revenons a nos Wattwatt, il fallait que je passe par les plaines ardentes, la forêt morte et les plaines rocheuses avant de retourner dans ma forêt silencieuse et sombre. Le chemin allais être long, j'en avais au moins pour cinq jours, en gardant une vitesse constante et en ne dormant que deux heures toutes les sept heures de course et en s'arrêtant 10 minutes toutes les heures et demie. Il ne fallait rien laisser au hasard.

Ayant finis mes réflexions très philosophique, je fermais mon esprit à toutes pensées et me consentra sur ma course qui était tout se qui pouvais importer à l'instant. Je me devais de courir jusqu'au lever du jour, sinon je ne serai jamais tranquille, car si les gardes ne me suivais surement déjà plus, les tueur qui rodaient la nuit près de là, aimaient s'en prendrent au pokemon qui semblait innoffensif, sauf quand il portait une cape et qu'il courrait. Car pour attaquer un individu comme ça, donc un possible confrère, il faut être suicidaire ou completement fou. Alors je courrais, reprenant mon souffle que quelques instant. Le jour pointant, j'en profitait pour dormir quelques heures, caché dans un arbre assez feuillu. Je me leva vers 10 heures, les huits heures de sommeil que je venais d'enchainer seront bénéfique au voyage. Je pensa à la forme à prendre. Soudain un moyen très rapide de rentrer chez moi s'imposa.

Les Galopas étaient connu pour être les sprinteurs les plus rapides, alors nous allons gagner beaucoup de temps. Enlevant ma capuche pour ne pas la déchirée je me transformais en un majestueux Galopa puissant et endurant. Je me jeta alors à l'assaut des plaines Ardentes à toute vitesse. Je ne pensais pas que les Galopas pouvaient courir aussi vite, étant à peine à la moitée de ma vitesse de pointe pour économiser j'avais parcourus les plaines ardentes en à peine cinq heures alors que cela aurais au moins dû m'en prendre dix, en courant à toute vitesse dans ma forme principale sans tenir compte de la chaleur. Je devais courir a plus ou moins 130km/h. Vraiment rapide pour un canasson qui servait en général juste de cheval de trait pour les calèches. Je ne pensais pas non plus qu'ils étaient tant endurant. Mon trajet depuis la Citée Noir était déjà d'une journée en sache que j'avais dormit huit heures. Si j'arrivais à tenir l'allure ma traversée de la forêt me prendrais beaucoup moins de temps que prévu. C'est dans cette optique que j'avais continué mon chemin presque innocemment.

Mais arriver à l'orée de la forêt, je compris le problème qui allait se poser. Pas moyen de galoper dans cet rammasi de racines qui ne demandaient qu'à te faire tomber au rythme de ta course. J'allais utiliser une autre forme. Mais déjà le soleil se couchait. Il fallait faire vite et surtout pas dans repérable. Je ne pouvais pas me permettre de rentrer dans la forêt morte en pleine nuit, ce n'était pas très fréquentable. Il me fallait a tout pris un oiseau assez discret pour passer. Un Pokemon assez imposant aussi. Etouraptor, non pas assez discret. Mais bien sûr Corboss ! Noir, imposant, silencieux et assez rapide, la forêt serais la traversée d'une nuit comme ça. Retrouvant une forme bipédique je me transformais en Cisayox histoire de mettre ma cape dans mon sac et m'envolais sous la forme d'un imposant Corboss. Oui j'aime les pokemon qui en impose quand on les voit et qui force le respect. Ca permet d'éviter les ennuis liés à des petits brigands. Au moins sa en moins. Tout en volant à vive allure, je me retrouvais encerclé de pas mal de Cornèbre, pas bon tout sa, c'est vrai qu'en général les Corboss sont entourés mais là c'était vraiment pas pour faire dans la discretion surtout vu les cris des pokemon de malheurs qui semblais joyeux d'avoir trouvés un chef en l'occurence ma forme. C'est que je commençais a être fatigué moi qu'on me tourne autour. Ce n'est pas comme si je n'avais pas la moitié du continent à traverser pour retourner chez moi et être enfin en paix. Surtout que vu les nuages qui s'amoncellaient dans le ciel nocturne le lendemain serais pluvieux et je ne pourrais pas réutiliser le Galopa, la pluie le ralentirait, je commençais à chercher ma prochaine forme quand une soudaine equipée de Hoothoot me fonça dessus, j'esquivais sans mal et d'un simple regard ordonna à mes nouveaux sbires, de...se les faire. J'allais m’occuper du Noafrang qui osait m'arracher à mes pensées et ma contemplation du ciel.

J'évitais tranche-air sur Tranche-air. Et il se prenait tranche nuit sur tranche nuit. J'en n'eu vraiment marre, alors j'utilisais l'attaque signature de ma race, histoire qu'il me laisse enfin en paix, Explonuit. Se qui lui fit faire un atterrissage forcé jusque dans la cimes des arbres morts. Je n'irais sûrement pas voir comme il allais surtout que comme le jour commençait déjà à pointer il fallait que je remercie les Cornèbre et que je m'éloigne au plus vite.

Mais la discution avait été plus longue que prévu, je dû me transformer en Zéblitz devant eux pour qu'ils comprenent, alors ayant remis ma cape et réajuster ma saccoche je m'élança a triples galop alors que l'orage déjà éclatait. Je voulais vérifier la rumeur comme quoi, lancer au triple galop la course d'un zéblitz tonnait comme des coups de tonerre et qu'ils courent comme l'éclair. Et effectivement la course fut rapide et bruyante. Plusieurs fois des marchands d'esclaves voulurent m'attraper mais ma vitesse assez impressionnante me permi de leur échapper. Vive la vitesse. La traversée qui aurrais dû me prendre une journée à cause des graviers tranchants ne me pris que cinq petite heures grance à la vitesse et au durs sabots de l'équidé électrique. J'étais vraiment heureux d'être un Zoroark enfaîte. Rien n'était plus agréable que de changer de forme à loisir. Même si en rentrant à la maison cela allait me couter et que j'allais rester coucher aux moinx une bonne semaine histoire de réccuperer. Enfin si à se train là j'y arrive parce qu'il fallais avouer que sous mon émerveillement constant et mon attitude moqueuse la fatigue se faisait bien ressentir, dans chacuns des muscles de mon corps, une pose serais préferable. Il me criait d'arrêter, mais un élant de joie eu raison de moi quand j'aperçus la forêt et je ne put résister à l'envie de mit engouffrer se que je fis en abandonnant ma forme illusoire et rabattant ma cpuche sur ma tête. La pluie ce n'etait quand même pas trop mon truc. Il faut avouer que je n'aimais pas cela plus que ça mais bon, la joie d'être de retour à la maison compensais avec le reste. Maisje savais que vu la fatigue qui me tirallait le dernier bout de chemin me prendrait au moins la journée. Même si la nuit blanche que je venais de passer était dure a portée. J'allais trouver un coin tranquille et m'assoupir un peu.

La foret me semblais si acceuillante. En meme temps j'avais randis avec elle et elle avais veiller sur moi. Je ne pouvais que me rejouir de la retrouver. Liassa les goutte degoulinée sr mon visage je leva la tete vers la cime des arbre. Tout etait comme je l'avais quiter. Tant mieux. Je me reconsentra sur ma route et recommena a marcher, d'abord d'une demarche boitillante puis plus sur d'elle, je retrouvais mes marque. Il faut dire que cette foret je l'avis faites en long en arge et en travers. Alors on n'allais pas m'arrpendre a me reperet ici. J'vancais sans un bruit sans un glisement de feuille. Meme si je saais ou j'etait la foret m'avais appris a etre extrement discret en son sein. Les meutre etait monnaie courant ici, meme si c'est vrais en vu le temps je ne risquait pas grand chose. mais on ne sais jamais. Lacant le temps couler comme une riviere je 'avançais surement dans la foret jusqua se que j'apercoive une Roserade allonger contre un Arbre, elle semblais dormir. Mias dans son sommeil il me semblais apprecevoir des frissons. Elle n'avais vraiment pas l'air mechante et vu son etat c'etait loin d'etre une mercenaire. Alors pris de pitier je sorti de mon sac une deuxieme cape et le plus silencieusement possible je m'approcha d'elle, laissant dans la poche de ma cape un petit mot.

"Aucune fleur ne devrait avoir froid~" signé l'Ombre sans Visage

lamentable hein pour un mercenaire mis je n'avais jamais dit que je n'avais pas d coeur. Juste que je ne le montre pas. Je lui glissa la cape dessus dans bouger, mon visage bien enfoncer dans ma capuche et tout en me releva je commença a partir, avant de tituber de fatigue et de reprendre mon souffle quelques mètre plus loin à peine. A bout de force.

Oui le trajet avait été long.

Parfois il y a des chose que l'on ne contrôle pas, la rage, la peine ou la douleur. Tel sont les emotion que l'on sais difficilement contrôler, mais je pense que le pire de tous est sans doute la fatigue. Il est vrais qu'en cette époque nombre de pokemon vicieux sorte de l'ombre, mais rien n'est plus vicieux que la fatigues. Elle te suis, lacèrent tes muscle dans ta course et finit par te faire un croche patte et te fait tomber. Ennemis ou pas, la fatigue n'en a que faire.

Alors oui j'avais combattu la fatigue pendant plus de trois jours, j'avais aiguiser les sens pour échapper a toute les infamie, j'avais économiser chacune des parcelle d'énergie de mon corps a chaque instant. Mais, alors que je me retrouvais enfin dans ma foret, alors que j'avais fait ma B.A du mois, pourquoi par Arceus, la fatigues n'avais pas daigner me laisser marcher jusqu'à mon antre. Le mal a l'état pur. Je n'avais vraiment rien pus faire a par essayer de ma rattraper a une misérable branche pour amortir ma chute. Mais en, y repensant, je me demande comment j'avais tenu aussi longtemps à un exercice aussi dur, car entre la fatigue musculaire des dernière semaine et du trajet et celle mental entre la concentration et les machineries, vraiment j'avais accompli un exploit. Mais tel n'était pas la question. Il fallait surtout que je me réveille enfin que je convint mes yeux de s'ouvrir, c'est bien beau d'avoir les sens en alerte mais si tu ne peut pas ouvrir les yeux cela ne sert pas à grand chose. Je fi it pourtant par avoir le dessus, et tout en agrippant doucement le tronc de mes griffes aiguiser j'essayais de me tenir debout tous seul. Je veut bien admettre qu'il.e faudrait une pose, mais delà a dormir n'importe ou pour le plaisir de se faire dechiqueté très peu pour moi.

Cette je connaissais ce monde comme ma poche et je savais de source sur que les mercenaire qui pense tout connaître grouilles ici. Alors oui il y en a qui sont là depuis longtemps, mais la foret ne révelle pas facilement ses secrets, d'ailleurs vu les nuages je croit qu'il y a la petite clairière qui doit être epargnee. Autant en profiter pour aller faire un petit somme, même si cela me fait faire un petit détours tant pis. Je ferma les yeux quelque seconde histoire de me rappeler de l'itinéraire. Car la Petit Clairière etait un lieu que la foret gardais en sont sein comme un trésor. Le secret le mieux garder, seul quelque natif de la foret savent la trouver et sont Etat nous obliger à la laisser telle quel.

Cette clairière semble avoir arrêter le temps dans la plus belle partie de son histoire. Elle est un des seul reste de l'ancienne beauté du continent. C'est un havre de paix et la foret ne laisse que ses enfant ou les âme plein de bonté y aller. Et je peut vous assurer que les deux son assez peut nombreux. Car rare sont les enfant que la foret garde en son sein et les âme bonne ses dernier temps sont un peut comme les moment de bonheur, très rare. L'herbe de cette clairière est d'un vert émeraude passer de petite fleurs. Et pars endroit des buissons plein de fleure de toute sorte poussé. Alors non il n'y a pas de luciole qui vole comme des fées, parfois la nuit Cest vrais, pas de pokemon qui se prenent la main comme au bon vieux temps. Juste un silence apaisant. Et il est vrais que parfois la clairière n'a pas de pluie par rapport au reste de la foret, il faut avouer que je n'ai jamais compris pourquoi. Mais le fait est que la tout de suite cela m'arrange bien....

Je tituba un instant et finit par me mettre sur  mes pattes. Bon il est temps d'y aller, ma tête bien enfoncer dans ma capuche je me retourna tranquillement et me concentrant un peu plus sur mon environnement je me rendit compte que la Roserade que j'avais aider quelque ,minutes ? Auparavant se tenais à moins de trois mètre de moi. Un sourir joueur se dessina sur mon visage malgré la douleur qui me tiraillait . Ma voix assez mystérieuse et légèrement moqueuse comme a mon habitude, tranchais la symphonie des gouttes autour de nous.

- Deja réveillée Lady ? J'espère que le froid qui vous abritait vous a laisser en paix
Je m'avançais de quelques pas et bifurqua tranquillement sur la droite, cherchant à savoir si la Fine Fleur allais me suivre ou non. Elle semblais de compagnie agréable mais ce n'est pas vraiment dans mes habitude de garder les gens auprès de moi. Et la ou j'allais elle ne pourrais peut être pas venir mais autant demander. Je m'arrête brusquement et me retourna vers elle.

- Regrettez vous la splendeur de ses lieux et du continent en entier ?

Mère, allais vous l'accepter dans vos saint lieux?

Hrp:

J'admire les merveilles de ma foret. Les gouttes ruisselant des feuilles me facine. L'admosphere de se lieu éveil mes sens et chacun des murmures est vite analyser. Tu entent la Roserade trottiner derrière toi pour finir par te rejoindre. Elle ne semble vraiment pas en difficulté par le terrain glissant et plein de racines. Un bon signe ? Aucune idée. Je la scrute en évitant un branchage. Elle ouvre la bouche presque hésitante comme si elle cherchais chacun de ses mots. Une ancienne Noble, tel etait leurs façon d'agir.

" Et bien, tu prends finalement la parole, le rejoignant en trottinant. Je dois admettre que la nostalgie me prends à chaque fois que je songe à l'éclat passé de nos terres. "

C'est bien se queje pensais. Une Primerienne Noble qui se retrouvais dans le monde réel. Un de plus dirons nous et il faut avouer qu'elle n'avais rien d'une mercenaire ou d'une voleuse et vu sa réponses elle ne semblais pas aimer les régime en place. Il est vrais que je préférais ma foret avant mais la terreur me permet de vivre en toute tranquillité. Je suis un peut entre deux, les contract sont plus rare en tant de paix mais bon, la torture si on se fait prendre c'est pas trop mon truc. Alors un peut de paix ne ferais de mal a personnes. Peu être que si cette demoiselle veut la paix je pourrais la diriger vers le lac des trois. Cela pourrais peu etre excuser mon absence auprès de mon amie. Mais la question n'était pas la.

Je contourna un arbre mort et tourna la tête de gauche à droite pour etre sur que personne n'était dans le coin. Il semble n'y avoir personne. Je me retournais alors vers mon vis à vis. Et en observant son visage je lâchât.

- J'ai des doutes si ma Mère accepte votre présence là où je vais. Suivez moi et nous verrons bien, surtout ne me prenez pas des yeux

Je me retourna subitement et le mis à trotinner tranquillement. Je ratait toujours le coche si je marchais, aussi étrange que cela puisse paraître, elle ne semblais pas se dévoiler sinon. Alors si elle voulais continuer il fallait courir. Je bifurqua à droite puis à gauche. Nous y étions  presque les gouttes d'eau se faisais deja plus rare alors la clairière ne devais  pas être loin. Ah ! L'arbre mort la bas et dix mètre a droite et voilà, plus qu'à passer derrière les buisson et nous y sommes.

Se fut alors le moment où je me retourna vers la Fine Fleur qui arrivais quelque mètre en arrière. Une résistante Mère ? Si vous l'acceptait elle devais avoir un bon fond ou en tout cas voir te redonner ta splendeur passée. Je respecte ton choix.

- Vous êtes une bonne personne. Ma mère vous accepte dans ce lieu secret

Je tira les buissons pour montrer mon petit havre de paix qui se détachais vraiment du reste de l'ambiance. Tout semblais beaucoup plus doux. Plus beau, comme avant.

- Bienvenu dans La petite Clairière, là où le temps semble s'être arrêter

Hrp: